Le fort des Barres
Seul fort construit par celui qui était encore chef de bataillon, Aristide Denfert-Rochereau et encore visible à Belfort, il n’en eut pas moins une genèse compliquée avant d’être achevé à la veille du siège de 1870.
Fort des Barres
Le fort des Barres était à peu près terminé quand démarra la guerre de 1870. Complétant à l'ouest la protection apportée côté est par les forts de la Miotte et de la Justice, il protégeait en outre le chemin de fer et la gare. Y furent détenus durant le siège certains des soldats prussiens faits prisonniers de guerre.
Joseph-Antoine Hild
Joseph-Antoine-Aloys Hild est né le 11 février 1845 à Soleure en Suisse. Issu d’une famille alsacienne, il fait des études au collège Stanislas de Paris et devient en 1868 chargé de cours de philosophie au lycée de Toulon, puis chargé de cours de rhétorique et professeur agrégé au lycée de Vesoul.
Les prisonniers de guerre
La notion de prisonnier de guerre est un sujet qui ne fait pas l’objet de texte international avant 1907. La convention de Genève de 1864 règle le traitement des militaires blessés et leurs soignants mais elle n’inclut pas de règles relatives aux prisonniers.
